« Car seuls vivent les morts dont on prononce le nom. »
Vivre après la mort, entrer dans l'Occident et en sortir, c'est ce à quoi, à partir du Nouvel Empire, tout Égyptien pouvait espérer parvenir s'il était assez fortuné pour être enterré avec un exemplaire du Livre des Morts.
C'est la période de la démocratisation des rites funéraires où le commun des mortels peut lui aussi triompher dans l'autre monde et assurer sa survie grâce aux vertus de la magie.
a.s.b.l. Kheper (antenne de Charleroi) Liens Kheper : [CHA, mardi 18/11/2014, 20h] Marianne Michel, « Les textes funéraires de l'Égypte ancienne » |